Bordeaux-Lac

Il réunit, dans un espace de détente, autour d’un plan d’eau de 160 ha, un parc des Expositions, un palais des Congrès, un centre hôtelier, une base de plein air et de loisirs, un parc floral et un vélodrome. De nombreuses manifestations s’y déroulent : la foire internationale, Vinexpo, le jumping international, les six jours cyclistes de Bordeaux ...

boulevard Alfred-Daney
Tél : 05 56 11 11 50
Fax : 05 56 39 94 45

L’ancienne base sous-marine de Bordeaux est un lieu culturel, touristique et ludique ! elle rassemble : des collections permanentes (comme celle de l’histoire de la Base ou encore celle de la plaisance d’Aquitaine) et des expositions temporaires, ainsi qu’une nouvelle présentation de la collection de bateaux. Mais aussi deux nouveaux pôles : un espace événementiel destiné à accueillir toutes sortes de manifestations et un espace culturel mis à la disposition des compagnies théâtrales et chorégraphiques pour leurs répétitions.

Construit durant la guerre, ce bâtiment entièrement en béton froid et humide est au nord de Bordeaux à l'extrémité de la zone industrielle A. Daney.

Base sous-marine - boulevard Alfred Daney
Tél - Fax : 05 56 50 06 14

Aménagé dans une ancienne péniche itinérante, évoque l’histoire de la vie maritime et fluviale de Bordeaux (maquettes de vaisseaux, figures de proue et ornementation navale) à travers les expositions temporaires.

41 rue Borie
Tél : 05 57 87 50 60 - Fax : 05 56 79 10 98

Aménagé dans l’ancienne maison du XVIIIe siècle d’un négociant en vin, présente des scènes d’embouteillage, des collections d’étiquettes du XIXe siècle.

12 cours du Médoc
Tél : 05 56 39 53 02 - Fax : 05 56 39 19 51

75 personnages en cire, costumés, racontent, sous forme de scènes sonorisées, l’histoire du vin de Bordeaux.

Activités : cycle de formation

à la dégustation des vins.

20 cours Pasteur
Tél : 05 56 01 51 00 - Fax : 05 56 44 24 36

fermé jusqu’en Avril 2000.

Face au cours de la Martinique
Tél : 05 56 44 96 11 - Fax : 05 56 44 74 85

Ce dernier des grands croiseurs - 180 m de long, 10 600 tonnes - est un témoignage unique de la vie des marins à bord d’un grand bâtiment au coeur de Bordeaux. On peut visiter la salle des machines, l’appartement de l’amiral, les postes d’équipage, l’hôpital et la cuisine.

Certaines pièce ne sont pas visitable, cela signifie t-il qu'il y a des choses à ne pas montrer aux simples mortels ? Qui habitent dans le Colbert?

Hangar 16 - Quai des Chartrons

Tél : 05 56 01 07 07 - Fax : 05 57 85 93 81

Centre d’animation et d’exposition pour

la découverte et la compréhension des grands sujets scientifiques, des innovations techniques, de la recherche et de l’industrie.

L’Eglise Ste-Marie de la Bastide (XIXe s.)

Son clocher bulbe, élevé par Paul Abadie en 1865, domine la rive droite de la Garonne, un peu à l’image du Sacré-Cœur de Paris, édifié par le même architecte. Deuxième monument mis en valeur dans le plan lumière de la ville.

Appelée aussi gare de la Bastide, elle demeure l’exemple de gare tête de ligne au plan en U. Elle fut inaugurée en 1852 par la Compagnie des Chemins de Fer du Midi. Elle fait partie du projet d’aménagement des deux rives.
Ce bâtiments acceuille depuis fin 1999 17 salles de Cinema UGC

La Porte Cailhau (XVe s.)

Ouvrage défensif inscrit dans l’ancien tracé des remparts de la ville, elle fut dédiée au roi de France, Charles VIII, au lendemain de sa victoire de Fornoue en 1495.

La place du Parlement (XVIIIe s.)

Ancienne place du marché royal, s’inscrit dans la continuité des programmes de l’architecture bordelaise. En effet, construction et reconstruction se mêlent de 1750 à nos jours mais toujours dans le style Louis XV, rocaille. Au centre, une fontaine de style néo-classique.

La Grosse Cloche (XIIIe s.)

Ancien beffroi de l’Hôtel de ville, est adossée à l’église Saint-Eloi, ancienne chapelle où les Jurats prêtaient serment au Moyen-Age.

Entrepôt - 7 rue Ferrère
Tél : 05 56 00 81 50 - Fax : 05 56 44 12 07

Il est installé dans un édifice du début du XIXe siècle, l’Entrepôt Réel des Denrées Coloniales, qui abritait les marchandises exotiques dont le port de Bordeaux faisait alors commerce. Il réunit une collection remarquable de plus de 600 oeuvres de presque 100 artistes : peinture française dans les années 70, peinture des années 80 et une section sur la création des générations actuelles.

Activités : visites commentées, conférences, activités pédagogiques, librairie-boutique...

Entrepôt - 7 rue Ferrère

Tél : 05 56 52 78 36 - Fax : 05 56 81 51 49

Centre d’Architecture

Activités : expositions temporaires, centre de documentation, librairie, bibliothèque, conférences.

L’entrepôt Lainé (XIXe s.)

Construit entre 1822 et 1824 pour stocker les denrées coloniales (café, cacao, vanille, épices). Il abrite, aujourd’hui, le Musée d’Art Contemporain et le Centre d’architecture Arc En Rêve.

Renseignements : Institut Cervantes
>Tél : 05 56 52 79 37 - Fax : 05 56 81 40 71

Francisco Goya vécut en exil à Bordeaux de 1824 à sa mort en 1828.

L’Eglise Notre-Dame (XVIIe s.)

Sommet de l’art baroque à Bordeaux, l’église Notre-Dame fut la chapelle du deuxième couvent des Jacobins jusqu’en 1790. Elle offre un brillant décor d’une grande qualité : ferronnerie, superbe buffet d’orgue, chaire en bois sculpté et marbre rouge, tableaux du XVIIIe siècle.

Les Allées de Tourny (XVIIe s.)

Cette promenade aménagée présente un ensemble de façades uniformes (1757) et offre une des plus belles perspectives de la ville.

Ancien cloître de l’église des Dominicains (XVIIe s.) avec salle capitulaire (lieu d’expositions et de concerts).

20 cours Pasteur

Musée d'Aquitaine Historique du musée L'actuel musée d'Aquitaine a pour lointain ancêtre le Musée lapidaire créé, vers 1783, par l'Académie de Bordeaux à la demande de l'intendant Dupré de Saint-Maur afin de rassembler les vestiges romains mis au jour par les importants travaux d'urbanisme entrepris dès le XVIe siècle et, principalement, au XVIIIe siècle. Tombé dans l'oubli, le Musée lapidaire est réorganisé et transféré, en 1960, dans l'aile sud de l'Hôtel de Ville, cours d'Albret. En 1962, à l'instigation de Georges-Henri Rivière, créateur en 1937, du musée des Arts et Traditions Populaires et initiateur de nombreux musées français, la ville de Bordeaux décide de transformer la vocation primitivement archéologique du Musée lapidaire en un musée d'histoire, d'archéologie et d'ethnographie régionales : il reçoit alors officiellement le titre de musée d'Aquitaine. Cependant, l'espace restreint dont il dispose, cours d'Albret, ne permet pas la mise en valeur de ses collections. Aussi, dès 1970, la municipalité bordelaise envisage l'installation du musée d'Aquitaine sur l'emplacement, cours Pasteur, de l'ancienne Faculté des Lettres et des Sciences, inaugurée en 1886. De nombreux projets sont à l'étude jusqu'en 1979 où l'on décide de conserver le bâtiment existant, œuvre de l'architecte Pierre-Charles Durand, tout en réaménageant les différents espaces intérieurs dans lesquels les besoins du musée et les exigences d'une muséographie moderne trouveraient satisfaction. A l'exception de la façade, du hall d'entrée monumental, des deux escaliers d'honneur et de deux cours, le bâtiment a été totalement repensé au profit de la muséographie. Le bâtiment comprend 4 niveaux dont 5000 m² sont consacrés aux expositions permanentes, 1000 m² aux expositions temporaires et 4500 m² aux réserves. Ouvert au public depuis 1987, le musée d'Aquitaine est situé au coeur même de la ville, à proximité de la place Pey-Berland et de la Cathédrale. La richesse de ses collections permet au visiteur de revivre l'histoire de Bordeaux et de sa région, depuis la préhistoire jusqu'à nos jours et met en valeur les liens de cette ville et de son arrière-pays avec l'outre-mer. Chaque objet, à un titre ou à un autre, évoque l'histoire régionale. Il s'agit de rappeler les événements importants qui se sont déroulés en Aquitaine, mais aussi de présenter l'évolution du mode de vie de ses habitants au fil du temps (urbanisme et architecture, vie quotidienne, commerce et artisanat, vie intellectuelle, rites funéraires et religieux). Des pièces de tout premier ordre voisinent avec des objets plus usuels : ce sont tous des documents présentés pour ce qu'ils nous apprennent. Mais par moment l'histoire, avec par exemple un Hercule de Bronze du IIe siècle après J.C., témoigne des importations entre Rome et l'Aquitaine, mais aussi de cette grâce intemporelle des chefs-d'oeuvre.

39 rue Bouffard

Tél : 05 56 00 72 50 - Fax : 05 56 81 69 67

Installé dans un très bel hôtel particulier du XVIIIe s., construit par l’architecte bordelais Etienne Laclotte pour le Marquis de Lalande, ce musée présente des collections de meubles, céramiques, verrerie, orfèvrerie, ferronnerie. L’histoire de Bordeaux au XVIIIe siècle est évoquée par une collection de souvenirs royalistes provenant de la collection Jeanvrot.

Activités : expositions temporaires, conférences, ateliers pour enfants, restaurant, salon de thé.

Place Jean Moulin

Tél : 05 56 79 66 00 - Fax : 05 56 44 66 04

Ce centre propose des collections consacrées à la seconde guerre mondiale, à la résistance et aux forces françaises libres.

Un hommage particulier est rendu à Jean Moulin avec la reconstitution de son bureau clandestin.

La Tour Pey-Berland (XVe s.) domine

l’imposante masse de la Cathédrale Saint-André dont les parties les plus anciennes remontent au XIe siècle. Son portail royal est inspiré d’Amiens et de Reims.

Sa nef romane a été prolongée par son chœur de l’époque gothique qu’un transept réunit au XIVe siècle.

Le Palais Rohan (XVIIIe s.)

Ancien archevêché au XVIIIe siècle, actuel Hôtel de ville. Il est entouré d’un superbe ensemble architectural de la fin du XVIIIe (rue Bouffard, cours d’Albret, place Pey-Berland ...).

L’Esplanade des Quinconces (XIXe s.)

Elle occupe un vaste emplacement (12 ha) en bordure du fleuve, décoré, à l’est, par deux colonnes rostrales et, à l’ouest, par le monument dédié aux Girondins. Elle est située à l’emplacement des glacis du Château Trompette. Deux statues colossales rendent hommage, depuis 1858, à Montaigne et Montesquieu.

La place des Quinconces est la plus grande place non construite d'Europe (126000 m2). Sa forme en carré allongé terminé par un hémicycle est adoptée vers 1816. Les arbres ont été plantés en 1818. Aujourd'hui, ils abritent des parkings. Le monument principal est érigé en 1899. Il est dédié à la mémoire des Girondins.
Il se compose d'un large socle encadré de deux bassins, ornés de chevaux et de groupes en bronze, et surmonté d'une grande colonne représentant la statue de la Liberté. Les deux colonnes rostrales situées face à la Garonne sont dressées en 1829. L'une symbolise le Commerce et l'autre la Navigation. Elles se trouvent à l'emplacement de l'ancien château Trompette (ou Tropeyte).
Les statues de Montaigne et de Montesquieu sont placées en 1858.
Vaste et dégagée, elle accueille beaucoup de manifestations bordelaises: cirque, brocantes, foire...

Le Monument aux Girondins (XIXe s.)

C’est un ensemble colonne-fontaine commémoratif, dédié aux Girondins de la Révolution et à la République. Il fut érigé entre 1894 et 1902. Vers la ville, trois femmes symbolisent Bordeaux, la Garonne et la Dordogne.

Le Fort du Hâ (XVe s.)

Construit au lendemain de la guerre de Cent Ans par Louis XI, il est actuellement constitué de deux tours (la Tour de la Poudrière et la Tour des Anglais). Il servit de prison jusqu’en 1950.

Le Palais de Justice et L’Hôpital Saint-André

Tous les deux, de même style, se dressent sur la place de la République. Leur architecture néo-classique reste fidèle à la tradition romaine.

Elle possède un très beau mobilier, notamment des grilles réalisées par le maître-ferronnier Blaise Charlut, la statue de Saint-Roch et un superbe lutrin.

Sa façade s’inspire de l’église du Gésu à Rome. A l’intérieur, s’élève au-dessus du maître-autel, l’admirable groupe de marbres représentant l’apothéose de Saint François-Xavier, chef-d’œuvre du Coustou.

Il fut ordonné par Napoléon Ier et inauguré seulement en 1822. Il est l’oeuvre de l’ingénieur Claude Deschamps.

1 place de la Bourse - Tél : 05 56 52 45 47 - Fax : 05 56 44 82 46

Installé dans l’ancien magasin de dédouanement de l’Hôtel des Fermes du Roy, ce musée retrace d’abord l’histoire des Douanes en France à travers des documents d’archives, des uniformes et des armes, des maquettes et instruments de travail.

En 1881, Camille Godard lègue sa fortune à la ville pour l’acquisition et l’aménagement du parc. Sa conception est confiée, en 1884 à Eugène Bülher. Cet ancien jardin d’acclimatation représente 30 hectares d’espace vert en centre ville.

Agréable espaces de verdure, le Parc Bordelais voit le jour en 1885. Il est dessiné par un paysagiste allemand, Eugène Bülher. Camille Godard y introduit de nouvelles espèces végétales : séquoia, magnolia, noyer d'Amérique, cyprès chauves de Louisiane. Certains s'assoient sur les bancs, les enfants jouent au ballon, les sportifs font le tour en courant (1900 m). Son importante superficie (30 hectares) ainsi que ses différents aménagements (parc animalier, étang central, mini-circuit urbain) font du Parc un lieu de détente apprécié à tout âge.

5 place Bardineau

Tél : 05 56 48 26 37 - Fax : 05 56 01 28 59

Importante variété de spécimens du monde animal, des minéraux et des fossiles.

Activités : expositions temporaires, conférences, ateliers pédagogiques.

Le Palais Gallien (art romain)

Cette arène hors les murs est le plus ancien témoin de l’histoire de Bordeaux. Les seuls vestiges de l’antique Burdigala (porte monumentale, départ des murs). Les arènes ont été détruites par les Barbares en 276 après J.-C.

Amphithéâtre de forme ovale, construit au milieu du 3ème siècle, ses dimensions imposantes (135 mètres de long, sur 111 de large) lui permettaient d'accueillir près de 15000 spectateurs. A la fin du 3ème siècle, il fut ravagé et incendié par les invasions barbares. Puis démantelé par les Bordelais, son état empira au profit de la construction de l'enceinte fortifiée de la ville au début du 4ème siècle.

Le Site Paléo-Chrétien (art romain)

Ses fouilles font revivre les origines du christianisme, dans notre cité, des IVe au VIIIe siècles.

La Basilique et la Crypte Saint-Seurin (art roman)

L’ancienne collégiale Saint-Seurin se dresse, depuis le VIe siècle, sur une vieille nécropole gallo-romaine utilisée par les chrétiens. Outre les cuves de marbre mérovingiennes surtout conservées dans la crypte, Saint-Seurin possède encore quelques éléments de son ancien mobilier (chaire épiscopale, tombeaux, albâtres, retables).

20, cours d’Albret

Tél : 05 56 10 17 18 - Fax : 05 56 44 98 16

Il abrite une vaste collection de peintures anciennes, un important ensemble de peintres italiens, hollandais, flamands du XVIIe siècle.

Activités : visites commentées, conférences, activités pédagogiques, bibliothèque, comptoir des ventes.

L’Eglise Saint-Bruno (XVIIe s.)

Derrière son étroite et austère façade, cet édifice religieux cache un des plus beaux retables de Bordeaux. Son décor a été réalisé par des artistes italiens et français.

Le Cimetière de la Chartreuse (XIXe s.)

Belle nécropole de 29 ha, plantée de tilleuls et d’ifs, aux remarquables mausolées et chapelles du XIXe siècle..

Expression contemporaine, des années 70, d’un espace vert organisé en centre ville, elle regroupe le quartier administratif et commercial de Bordeaux-Mériadeck.

La gare Saint-Jean (XIXe s.)

L’imposante façade éclectique de la gare Saint-Jean dissimule une des plus grandes halles métalliques du monde (1899).

Située au début de la rue de la Fusterie (habitée au XVIIIe par les tonneliers), Arc de triomphe à l’antique (1755), elle remplace une porte médiévale.

Ancien clocher de la Basilique St Michel, édifié en 1492, son sommet culmine à 114 m. Terrasses panoramiques.

52 - La Basilique Saint-Michel (art gothique)

Commencée au XIVe siècle, l’église Saint-Michel demeure un bel exemple d’art flamboyant. Elle possède un intéressant retable. Son clocher isolé est le deuxième de France par sa hauteur (114 m).

L’Abbatiale Sainte-Croix (art roman)

Sa façade romane rappelle, par sa conception et son décor, les édifices de la Saintonge et de l’Angoumois (anciennes provinces de l’ouest de la France).

L’ancienne Maison de la Miséricorde cache, derrière ses murs, un cloître terminé vers 1530. C’est actuellement le siège de la Direction Régionale des Affaires Culturelles.

10 rue Fort-Louis - Tél : 05 56 92 61 17

Depuis que le Musée de l’Imprimerie a ouvert ses portes en 1987 chacun peut admirer les machines du livre, trois secteurs sont organisés pour fonctionner devant le public : la typographie, la lithographie et la reliure.

la rue Saint Catherine

Rue piétonne traversant une grande partie de Bordeaux, elle démarre place de la victoire et s'arrête prêt du grand théâtre. La rue est ouverte à la circulation et au stationnement des voitures de 20h00 à 7h00. La rue abrite de très nombreux magasins, bars et restaurants. on trouvera dans cette rue tous les magasins aux enseignes connus (Galerie Lafayette, Sephora, Quick, relais Descartes...) Mais aussi de nombreux petits magasins aux enseignes indépendantes. La plupart des magasins ferment en semaine assez tard (entre 19H00 et 20H00) permettant aux travailleurs de venir faire des emplètes après leur travail. Néanmoins la pointe d'activité dans la rue se situe entre 12H00 et 14h00. Les jours fériées et les week end, la rue est souvent noir de monde du matin jusqu'au soir. C'est comme si l'ensemble des bordelais se donnait rendez vous pour flanner devant et dans les magasins ou pour prendre un verre dans les nombreux bars de la rue.

la rue porte dijeaux

Prolongement de la rue Sainte Catherine, la rue Porte dijeaux est aussi une rue piétonne. Elle abrite aussi de nombreuses enseignes connus, mais les magasins sont un peu plus haut de gamme (Lacoste, Hugo Boss etc ...) La rue porte dijeaux, se termine par le monument nommé "la porte Dijeaux" et conduit vers la place Gambetta

La place Gambetta

La place Gambetta possède en son centre une esplanade de verdure. cette place reste un lieu de vie à Bordeaux car elle reste un passage obligé vers le grand magasin "Virgin Megastore" et vers les trois cinémas du centre ville (Gaumont, UGC, CGR).