Histoire de Naprosyne, prêtre de Mystra.



Né en 1360 Naprosyne n’a actuellement que 10 ans. Son intellect et son physique sont pourtant ceux d’un homme de 20 ans. En effet il vieillit deux fois plus vite qu’un homme normal, mais est-il un homme ordinaire ou même est-il un humain ? (Qu’en penses-tu Scully?)

Né en 1360 Naprosyne ne connut pas sa mère. Il ne sut jamais si elle était morte durant l’accouchement ou si elle avait quitté le foyer conjugal peu après. La tâche de l ’élever revint donc à son père. Mais celui-ci tellement occupé par son ordre ne s’aperçut jamais de la différence de son enfant (Snif...). Celui-ci croissait à une vitesse folle mais personne ne semblait s’en rendre compte. Pour Naprosyne les cinq premières années de sa vie passèrent à une vitesse folle, découvrant tous les jours de nouvelles choses, apprenant sans cesse. Son père le combla dans sa recherche de connaissance mais sa vie était vide de toute affection. Un trou immense trônait en plein milieu du coeur de Naprosyne. Il ne demanda durant ces cinq premières années qu’à recevoir un peu d’amour en échange d’une immense affection qu’il aurait su accorder. Mais jamais son désir ne fut accompli et sa vie bien que fantastiquement riches d’événements fut pour lui une longue route dans le désert de l’amour mais dans la plus grasse prairie de la connaissance (Snif, je vais pleurer).
Né en 1360 Naprosyne entra au service de Mystra à l’âge de cinq ans. Physiquement il était aussi grand que la plupart des postulants, mentalement il ne surpassait en rien les autres enfants mais la déesse de la magie le choisit à lui pour devenir l’un de ses prêtres (Mouais, on se demande pourquoi, PRIVILEGIE !). Tous les enseignants remarquèrent sa terrible croissance et nombreux furent ceux qui l’attribuèrent à la déesse. C’est à cette époque que Naprosyne commença à comprendre sa différence. En cinq années il devint un prêtre alors que d’autres entrés bien avant lui étaient encore que de simples disciples apprenant tout juste à ressentir la structure magique de Toril. Cette différence il la comprit et l’accepta en tant que bénédiction des dieux car il était devenu adulte rapidement et avait appris tellement de choses en si peu de temps. Mais il l’accepta aussi en tant que malédiction car il savait qu’en vieillissant à cette vitesse il mourrait rapidement, sa vie serait riche mais courte. Cette malédiction faisait de lui un être différent, si différent que parfois il en était mal (Snif...). Naprosyne a l’apparence d’un humain mais son vieillissement accéléré fait-il de lui un véritable être humain? Est-il à sa place dans ce monde, que fait-il au milieu des hommes ? (La vérité est ailleurs). Telles sont les questions qu’ils se posent et dont pour l’instant il n’a que les ébauches de réponse.
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Né en 1360 Naprosyne découvrit peu après son entré au temple, un soir dans sa cellule une écaille de dragon bleue. Après examen il s’avéra que c’était plutôt un conglomérat d’écaille qui était arrangé pour en faire un bouclier de point. La matière ressemblait énormément à celle que constituait cette bague que lui avait donnée un jour son père alors qu’il n’avait que 3 ans. Le lendemain il apprit par la bouche du maître des novices que son père était décédé la veille lors d’un combat contre un sorcier d’Azouth. Personne ne lui parla du petit bouclier. Après bien des recherches dans les papiers de son père, dans son ancienne demeure, et de nombreuses questions, Naprosyne découvrit que son père faisait partie du culte du dragon. Dans cet ordre il était spécialisé dans l’étude des dragons bleues. Ceci confirma que la matière constituant le bouclier ainsi que la bague était bien une écaille d’une de ces créatures titanesques que sont les vers (Alors Scully convaincu, le nain métamorphe, est bien le devin fou qui tue en série les grand ver bleu. Ils sont déjà parmi nous). Comment ce bouclier avait pu atteindre sa cellule. Avait-il annoncé la mort de Brenguen père de Naprosyne de sa propre volonté? Ou avait-il était placé ici en tant que message? Si oui par qui? Le mage d’Azouth, un ami de l’ordre ou une tierce personne? Dans quel but? Naprosyne n’avait jamais su que son père faisait partie de cet ordre dit mauvais qu’est le culte du dragon, comment ce bouclier pouvait-il donc être une mise en garde contre les ennemis du culte ou contre ses amis ( Quel suspens insoutenable ). Le jeune homme conclut donc que ce bouclier était doué d’une volonté propre et qu’il avait su retrouver soit la trace du fils de son ancien compagnon, soit la trace de la bague que lui Naprosyne n’avait jamais ôtée de son doigt. Cette bague était en effet la seule preuve d’affection que son père ne lui avait jamais faite. Lorsque Naprosyne devint prêtre il acquit le don de Mystra, celui de voir la magie. Alors son premier regard se tourna sur sa bague et son bouclier. Ce qu’il vit le déconcerta, (Snif...) le bouclier était à la fois source et destructeur de magie. Comment cela pouvait-il être? Etait-ce un pouvoir des grands vers de savoir user de magie tout en s’en protégeant comme les prêtres le font avec la foi? L’utilisant pour créer des effets magiques et s’y enfermant pour les contrer. Ou était-ce un pouvoir du bouclier? Naprosyne arrêta là ses recherches car il se sentait inexplicablement attiré vers la connaissance des dragons et plus spécialement des bleus. Il s’arrêta de peur de suivre l’exemple de son père, il s’arrêta car Lonurdeaz sont grand ami venait lui rendre visite (fais gaffe c’est un pourri, Oh mais tais-toi j’aimerais lire tranquille).
Né en 1360, Naprosyne fut l’ami durant trois années d’un vieil homme nommé Lonurdeaz. Il était là pour le soutenir et pour l’aider dans son apprentissage. Durant ces trois années il fut le plus fidèle des amis de Naprosyne répondant à ses nombreuses interrogations et l’aidant à mieux se connaître lui même. Il lui conta de nombreuses histoires dont celle de la relique du magicien nommé Azouth avant son élévation au rang de dieu. Ce bâton aux pouvoirs fantastiques semblait parfois l’unique passion de Lonurdeaz, (Snif...) et il sut conférer au jeune apprenti sa fougue de la recherche de cette puissante relique. Aussi quand Naprosyne reçu la lettre de son ami il partit pour l’aventure sur-le-champ, ne prenant le temps que de réunir ses affaires et de saluer ses supérieurs.
Né en 1360, Naprosyne est un homme d’une vingtaine d’années. De taille moyenne, il semble pourtant de bonne constitution. Dans son regard bleue brille une lueur d’intelligence et malgré son âge réel, on y découvre aussi une grande sagesse. Ses cheveux bruns sont coupés courts à la manière de nombreux moines, au bol. De classe pauvre, (Snif... Bon t’arrête de renifler oui ou non, C’est pas ma baute suis enrubé, Snif...) il n’a jamais possédé grand chose et sait se contenter de peu. Il est économe et n’apprécie guère de devoir se séparer de son argent à part si c’est pour la plus grande gloire de sa déesse. De peau très légèrement bronzée, Naprosyne est la plupart du temps vêtu d’une tunique bleue avec le symbole de sa foi brodé sur la doublure, à l’intérieur (suivant les régions il n’est pas forcément bon d’afficher ses opinions religieuses de manière ostentatoire). Il possède aussi un médaillon qu’il porte sur sa poitrine, celui-ci est un cercle d’étoile avec un brouillard rouge au centre. C’est le symbole de sa foi qu’il n’hésite pas à brandir lorsqu’il faut se battre contre les forces du mal ou contre les détracteurs de Mystra. A cause de sa malédiction, la barbe de Naprosyne, une barbe dure et noir comme les profondeurs de la nuit, pousse très vite. Il se rase donc régulièrement tous les matins et bien souvent le soir avant le repas. Grâce à sa bénédiction Naprosyne récupère très vite, en seulement quatre heures de sommeil il est aussi reposé que n’importe quel humain qui aurait dormis huit heures. Son amour de la magie l’a guidée vers Mystra mais cet amour est si grand que les créatures qui détruisent la magie lui font peur. Bien qu’il n’en ait jamais vu et qu’il ne connaisse que leur nom, Naprosyne est terrifié par les Hakeshear. (Snoouurf, Snoouurf, Snif... Ah ça va mieux. Ben et l’amour?. On a eue le triste, le suspens mais l’amour? Vos gueules je veux entendre le générique de fin. Tan tan tan tan tan taaaaan, ta ta ta ta taaaaa.....)