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Dossier N°2062 Dernière mise à jour: 05/07/2054





Rapport des activités des docteurs Kint et Kobayashi durant les guerres du désert. Ce rapport ne traite que des activités et des expériences effectués sur l’unité sept et en partie sur le sujet 621. Pour obtenir les informations sur les autres sujets, consultez les dossiers concernant les sujets 500 à 700. L’accréditation sécurité nécessaire est de niveau 6.

Extrait du dossier N°500, introduction aux travaux du docteur Kobayashi.

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Le sujet 621, faisait partie d’une unité de vingt hommes. Tous ont été modifié après leur incorporation dans la corporation. Pour les améliorations standard il a été fait appel à des biotechnicien standard. Les membres de ce septième groupe ont reçu en série l’équipement suivant: datajack de niveau 1, réflexes câblés de niveau 2 (les move by wire ont été jugé trop chère pour les budgets, néanmoins chaque sujet a reçu un commutateur pour ses réflexes), réaction augmentée niveau 6, cybercomm link, interface d’arme niveau 2, remplacement cybernétique standard des yeux et amortisseurs de sons. Cet équipement a été demandé par le commandement militaire, il est indépendant des recherches effectuées. Il est possible néanmoins que cet équipement ait pu entraîner certains des résultats obtenus. A ce sujet voir le rapport N° 2065.
Comme tous les sujets de cette unité, le N° 621 fut recruté avec un corps totalement sain. Aucune opération antérieur ne fut détecté lors des examens de préincorporation. Le sujet fut retenu dans l’unité sept à cause de son potentiel physique extraordinaire.
L’unité sept était composé à 60 % d’homo sapiens robustus et à 40 % d’homo sapiens sapiens. Tous furent choisi comme le sujet 621 à cause de leur potentiel physique et de leur faible résistance mentale. Les risques furent ainsi réduits au minimum durant le projet.
L’unité sept fut constitué le 2/03/2045, Chaque membre resta environ 3 mois en convalescence après l’implantation du cyberware standard. Durant 3 mois l’unité fut entraîné et formé aux tactiques militaires. De juin à décembre l’unité sept alla de conflits en conflits sans perdre un seul membre. L’état major considérant que ses investissements étaient amortis, permit au docteur Kobayashi et au docteur Kint d’utiliser les membres de l’unité sept dans le cadre de leur recherche susmentionné dans le dossier N° 500.
Les vingt hommes passèrent environ trois mois dans le centre de recherche N° 3. Au cours de ce séjour l’équipe des deux praticiens implanta de manière statistique, tous les modules mis au point par l’unité de recherche du professeur Mac Malus. Il faut noter que si lors de leur première opération tous les membres de l’unité furent mis au courant de toutes les implantations cybernétique et ont signé des documents d’accord et de décharge, ce n’est nullement le cas pour les travaux des docteurs Kobayashi et Kint.
Durant le mois suivant leur convalescence, ils suivirent un entraînement intensif, mais ne retournèrent pas au combat. On observa chez certains sujets des comportements agressifs proches de ceux d’animaux sauvages lors de stress important comme un combat rapproché. Les sujets N° 623 et N° 626 furent sujets a de tels comportements, veuillez consultez leur dossier pour de plus amples informations.
Les sujets 630 à 635 tous équipés du module 4 subirent des troubles de leur second module et pour le N° 631 le système d’augmentation des réflexes ne fonctionnait plus correctement. (Pour la description de ces problèmes, veuillez consulter les dossiers de chaque individu).
Les autres sujets ne présentèrent lors des premiers tests aucune anomalie.
Malgré ces quelques inconvénients les deux docteurs décidèrent d’envoyer toute l’unité vers la zone de combat la plus proche. Les unités ennemies furent détruites totalement, mais plusieurs membres de l’unité sept ne revinrent pas à la base après la mission. Les unités de recherche n’ont pas retrouvé de corps ni de traces de survivant. Des expert militaires ont déclaré que les produits qu’était chargée de détruire l’unité pouvaient dissoudre un corps humain cybernétisé en moins d’une heure. Pour avoir confirmation de cette hypothèse un interrogatoire des membres de l’unité a eue lieu le lendemain de l’opération. Les sujets 621 à 625 ne purent apportés aucune réponse aux questions concernant la mission. Un genre d’amnésie les affectait. Les autres membres de l’unité étaient répartis trop loin des points stratégique pour apporter des éléments de réponse au sujets des disparus.
Les docteurs Kobayashi et Kint poursuivirent les expériences et les observations. Durant les deux mois qui suivirent ils essayèrent de remplacer certains modules mais cela tua deux autres membres de l’unité, pourtant quelques opérations réussirent. Les deux patients morts étaient des homo sapiens sapiens. La théorie du docteur Kint sur la résistance plus importante des homo sapiens robustus à l’implantation des modules est développée dans le dossier N° Ki002.
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Après trois autres missions en un mois, les problèmes majeure dû aux modules ne furent pas résolus. On dénombre parmi ceux-ci: agressivité, perte de mémoire, interférence avec le cyberware, augmentation d’attributs physique non contrôlées (on retrouvera la liste exhaustive des problèmes dans les dossier Ko011 à Ko015.
< Lien hypertexte refusé, accréditation non valide, déclenchement alerte niveau 2 >

Le haut commandement décida alors d’envoyer l’unité sept en mission suicide. En effet le projet Kobayashi posait trop de problème. Le docteur fut éliminé par poison ingestif au cours de la mission. La mission suicide de l’unité sept ne fut pas inutile puisqu’elle permit de détruire un centre de communication important.
A cette mission ont survécu trois élément de l’unité sept: Les N° 621, 623 et 625. Ces éléments souffrent à cause de leur module d’amnésie chronique passagère. Ils ne souviennent pas des actions qu’ils ont effectués dans des conditions de stress. Nous utilisé ceci à notre avantage. Aucune de ces trois personnes ne s’est souvenu de leur mission suicide. Ils ne se rappellent que leur voyage vers le point d’intervention et leur retour à la base. Après plusieurs test nous avons démontré que leur perte de mémoire est effective à la fin d’un fort stress, et quelle concerne toute la durée du stress. Ainsi les facultés de ces trois combattants ne sont pas affecté durant les missions et puisqu’ils n’ont pas de souvenir de la mission, on peut les envoyer sur les sites les plus secrets, à condition de les maintenir dans un état de stress constant. Le professeur Kint fut chargé de développer un module remplissant cette fonction. Il utilisa comme base une pompe à adrénaline. Pour de plus amples renseignement veuillez consultez le dossier Ki006.
< Lien hypertexte refusé, accréditation non valide, déclenchement alerte passive >

Les sujets 623 et 625 furent opérés pour l’implantation du module nouvellement créé. Les trois soldats furent ensuite envoyés sur le front dans une mission très spéciale. Ils devaient éliminer une de nos propre unité: le 102 ème d’infanterie. Cette mission ne leur fut communiqué qu’après mise en état de stress. Le 621 fut mis dans cet état hypnotique, comme le définira plus tard le docteur Serval, par le tire d’une rafale de mitrailleuse. Les sujets 623 et 625 furent placé en transe grâce à leur module commandé à distance.
Nous pensons que le 623 est mort dès qu’il a utilisé son interface d’arme. Les sujets 625 et 621 survécurent à la mission qu’ils accomplirent avec brio. Le 102 ème a été totalement détruit. Le sujet 625 est rentré à la base deux heures après le temps oméga. Le docteur Kint découvrit que l’utilisation prolongée du module pouvait détruire le cerveau humain. Son utilisation prolongée est équivalente à une lobotomisation. Le N° 625 devint totalement inutile après cette découverte. Le N° 621 n’est pas rentré après la mission. Nous avons retrouvé son ordinateur tactique sur le lieu de la mission. Nous pensons qu’il est sorti de sa transe durant un temps mort de la bataille et que malgré son intelligence limité il s’est rendu compte de sa mission. Sa fidélité au commandement s’en est trouvé ébranlé et il a déserté. Grâce au micro émetteur que nous fixons sur tous nos éléments, nous avons retrouver sa trace à Seattle. Nos homes ont fait une descente dans une clinique clandestine et ont retrouvé l’émetteur. Du sujet 621 pas de trace. Après interrogatoire des personnes présentes, nos hommes ont appris que le 621 se faisait appelé Kaiser Sauzé et qu’il avait intégré les ombres. Le plan table rase a été déclenché sur la clinique, sur l’ancien campement du 102 ème et sur le N° 621. Il a été rempli sur les deux premiers objectifs. Le sujet 621 reste introuvable.
Comme le montre le dossier du sujet 621, On ne lui a pas implanté de bombe corticale de peur d’interférer avec le module 1. Nous devons donc le retrouvé dans les ombres de Seattle si nous ne voulons pas qu’il révèle ce qu’il sait. Deux limier ont été engagé pour mener a bien cette mission. Mr Jonhson 32 leur a remis le dossier du 621. Dans celui-ci ils pourront trouver toutes les informations concernant le dernier survivant de l’unité 7 sauf ce qui concerne ses activités au sein de notre compagnie et les modules des docteurs Kobayashi et Kint.

< Accès au dossier du Jonhson 32 >

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